L’arte sconosciuta del volo (The unknown art of flying)
par Fovanna Enrico, Fovanna Enrico
Premosello, Piémont septentrional, 1969. Nous sommes le 1er novembre, la veille du jour des morts, et une découverte effrayante est sur le point de réveiller l’horreur dans le village, bouleversant l’enfance de Tobia. Le corps d’un de ses camarades de classe a été retrouvé sur une route de campagne, près du ruisseau. Quelques mois seulement après que le corps d’une autre petite fille ait été retrouvé. La terreur se répand dans le village : il est maintenant clair qu’un monstre erre dans la campagne, un monstre qui tue les enfants. Tobia est rongé par un sentiment de culpabilité et de honte, car il s’était battu avec ce garçon le jour même de sa disparition, et voulait vraiment en finir avec lui. Il est maintenant difficile de revenir à la vie d’avant, à l’amour innocent et palpitant pour Carolina, aux jeux insouciants avec le père Camillo et avec Lupo, le fou du village. Surtout lorsque les soupçons des villageois se portent sur une personne très proche de Tobia, dont il ne doute pas un instant de l’innocence. Quarante ans plus tard, Tobia vit à Milan et est médecin légiste. Démotivé par son travail et abandonné par sa femme parce qu’ils ne pouvaient pas avoir d’enfant, il vit l’un des moments les plus sombres de sa vie. Ce sera un coup de téléphone d’Ettore, son ancien camarade de classe, qui le convaincra de revenir après tant d’années dans les lieux de son enfance, pour les funérailles de Lupo. Et ce retour inattendu viendra changer la relecture de son passé… Un roman intense et touchant, où, grâce à l’amour, un adulte terrasse les fantômes de l’enfance.
- Maison d’édition Giunti Editore
- Année de publication 2020
- Nombre de pages 348
- ISBN 9788809886490
- Droits étrangers LeeAnn Bortolussi l.bortolussi@giunti.it
- Ebook Disponibile
- Prix 18.00 €
Fovanna Enrico, Fovanna Enrico
Enrico Fovanna est né à Premosello, dans la province du Verbano-Cusio-Ossola en 1961. Il vit à Milan, où il s’occupe de questions sociales, d’immigration et de droits de l’homme. Le 9 novembre 1989, le jour de la chute du mur de Berlin, il est engagé par le journal Il Giorno où il travaille encore aujourd’hui. Avec Il pesce elettrico, son premier roman, réédité en 2002, il a remporté le Prix Stresa 1996 et le Prix du Festival du Premier roman à la Foire du livre de Turin 1997. Il a également été publié par EL et Utet, et a réalisé des reportages dans des pays en guerre à l’étranger, notamment en Irak et en Afghanistan.
