Peccati immortali (Immortal Sins)

Rome, dans quelques années. Salvini est tombé, après le naufrage d’un bateau de migrants devant un port fermé. Maintenant, au gouvernement, il y a le PD et le Peuple de l’honnêteté. Mais le Premier Ministre est faible, et le nouveau Ministre de l’Intérieur prépare un plan pour s’emparer du pouvoir. C’est sur cette toile de fond que commence le polar. Le cardinal Michelangelo Aldrovandi, le seul conservateur à avoir gagné la confiance du pape, est retrouvé mort dans des circonstances obscures. Le scandale est étouffé. Mais Remedios, la religieuse qui s’occupait de lui, retrouve un téléphone portable avec quatre photos. Qui compromettent – à cause d’un détail curieux – le leader émergent du Peuple de l’honnêteté. Le téléphone est volé. Et beaucoup le cherchent. C’est pour ces photos, qui peuvent faire sauter le gouvernement et le Vatican, que l’on cherche à tuer. L’on tue. L’on se tue. Sur la scène apparaissent les services, les gendarmes du pape, un vieux sénateur qui sait tout sur tout le monde, un tueur au vice étrange et avec un poids sur la conscience. Et apparaît un ancien espion, Leone Di Castro, surnommé Gricia en raison de sa voracité, qui forme avec Sœur Remedios un duo d’enquêteurs inattendu et donc surprenant.